Tu te sens fatiguée ?
Avant même d’ouvrir les yeux, un poids te tombe dessus, tu te sens mal.
Tout te revient. L’emploi du temps de la journée, les choses pas funs à vivre, les tâches pénibles à faire, les émotions désagréables liées au stress, aux conflits, au retard, aux imprévus, … Une espèce d’angoisse glacée t’étreint le cœur. Une mélancolie mêlée à une certaine désillusion et un certain renoncement. (J’ai l’impression de parler le « Mylène Farmer » !😆)
Puis tu sens la fatigue. Ensuite le stress prend le dessus. Enfin, tu rentres dans le bain, dans le moule, dans la course, dans « maman gère sa 1ère journée en préparant les enfants » avant de vivre sa « 2ème journée au travail » et « sa 3ème journée, le tunnel du soir » avant de regagner son lit.
Et de recommencer le lendemain.
Cela t’arrive-t-il de commencer tes journées de cette façon ? A quelle fréquence ?
Oui, tu aimes tes enfants; tu oublies et tu vis normalement; y’a des moments positifs. Mais…? Tu n’as pas envie de changer cette partie étouffante ?
Te sens-tu débordée,
dans l’urgence, le retard, la pression, embarquée dans une roue qui tourne trop vite pour toi ? Comment ressens-tu, intérieurement, ta vie quotidienne ?
Quelque part, ça paraîtrait presque « normal » étant donné le monde dans lequel nous vivons, entre les exigences de la société où tout doit être fait et parfait (et si possible rapidement, genre pour hier), toutes ces sur-sollicitations visuelles et sonores permanentes, le tout dans une méfiance ajoutée à une morosité ambiante … Moui, sympa ! Ce n’est pas le plus joli côté de la vision. Justement.
Je te propose de faire comme moi : changer ça. Changer tes habitudes de vie pour rentrer dans un cercle vertueux. Changer ton point de vue sur la vie peut modifier ton ressenti habituel sur les évènements quotidiens et sur ton vécu. Et ça, ça change tout ! Car le bonheur est entre nos mains, et déjà, à l’intérieur de nous. Prendre le temps de vivre. PROFITER et non pas juste survivre et attendre. Le temps passe si vite !

Oui, le temps passe terriblement vite : Réalises-tu combien d’étés il te reste et combien sont déjà passés ? Compte-les. Eh oui, il faut pour cela réfléchir à son espérance de vie. Personne n’est immortel (que je sache du moins !) Réalises-tu aussi, qu’en ne vivant plus auprès de tes parents, il te reste très peu de temps à passer avec eux, comparé à celui qui s’est déjà écoulé jusque-là ?
Les années passent, les enfants grandissent trop vite et on continue à attendre que des trucs chouettes nous tombent du ciel, à procrastiner sur beaucoup d’actions, tout en vivant avec l’espoir de pouvoir faire un jour ce qu’on n’a jamais le temps de faire… “Un jour…”
Arrête. Relève la tête du guidon.
Arrête de courir, d’enchaîner les actions, sors de ta transe active de temps en temps.
Si tu te sens bien, vérifie juste le cap, pour te diriger dans la bonne direction pour TOI.
Si tu te sens frustré, tu fais vraiment bien de t’arrêter.
Alors arrête de te réfugier dans un verre, une cigarette, un paquet de gâteaux, les réseaux sociaux, … Sors de ta transe de fuite où tu cherches les compensations positives rapides du manque de ce qui est important dans ta vie sans que tu ne t’en aperçoives consciemment.
Si c’est ponctuel et choisis, c’est parfait.
Si c’est habituel et subis ou regretté, encore une fois, tu fais bien de t’arrêter.
Retrouve-toi.
Retrouve ce qui est important pour toi.
Prends-en conscience et focalise-toi dessus.
– Commence déjà par te concentrer sur ce que tu as. Tu les as, donc tu n’en as pas besoin ça ne te manque pas donc tu n’y penses pas. Si justement : penses-y. Apprécie. Ressens ce que cela t’apporte de l’avoir.
– Dans tes journées, qu’est-ce qui t’apporte de la joie ? Fais plus en direction de ce qui t’apporte de la joie et moins dans le reste.
– Si tu ressens des émotions désagréables, essaie de trouver quel est ton besoin derrière qui n’a pas été respecté.
Simplement, pour savoir ce qui est important pour toi, apprends à t’écouter, TOI.
En trouvant ce dont tu as EN-VIE, tu te sentiras vivant et en agissant dans ce sens, tu seras nourrie, comblée, heureuse.
J’ai pris des raccourci mais je pense que tu vois que j’aspire à insuffler de la sérénité dans la vie des gens en les aidant à trouver leur propre bonheur. En apaisant ce qui est agité et en écoutant ce qui leur convient de façon personnelle.
On se met tellement de pressions avec nos to do list sans fin et les obligations, dont celles, sournoises, que l’on ressent de la part de la société et que l’on se met inconsciemment sur le dos, en tant que femme, de nos jours :
Être
- une bonne personne : humble, généreuse, respectueuse mais pas bonne poire
- mais aussi une bonne mère : ferme mais douce, gentille mais cadrante, câline mais autonomisante, conseillère mais pas contrôlante
- une bonne épouse : ni pute ni soumise mais un peu des deux, dévouée mais indépendante, sexy mais bonne cuisinière, dispo mais pas trop
- également une super business woman qui ne se laisse pas faire sans être désagréable ou féministe
- intelligente, drôle, pas cupide, pas superficielle, pas chiante
- une bonne amie aussi
Et accomplir tout ceci tout en étant bien habillée, bien coiffée, souriante et sans jamais se plaindre… et encore, on est critiquée quand on essaie de faire l’impossible.
La liste est LOIN d’être exhaustive.
Surtout, rappelez-vous que la perfection est inatteignable. La perfection c’est surtout reconnaître ses imperfections et en être fière, car elles font de nous ce que nous sommes. Vous savez ce qui vous reste à faire ? Trouvez ce qui vous convient le mieux dans mon site ! Cocon ? Application ? Formation ?
Je vous aime et je suis là pour vous. Vous êtes incroyables.