Quand ça ne va pas, que tu sens le stress

Quand tu ne te sens pas bien, trop de fatigue, trop de choses, trop de stress, trop de déprime, …

Panique : quel jour sommes-nous déjà, que se passe-t-il aujourd’hui ?

Retombées déçues : oooh non, travail aujourd’hui. Il faut se lever et s’activer.

Le cœur et la gorge se serrent, un vague à l’âme s’empare de moi. J’ai l’habitude. C’est quotidien.

Je passe en mode automatique : je vais tout gérer, tout supporter.

Quand on est maman et qu’on travaille, on en enchaîne des actions le matin. Tout un tas de petites actions, dont il n’en faut oublier aucune. Au risque « d’être » une « mauvaise mère ». Tout ça tassé dans un timing où chacun doit arriver à bonne destination à la bonne heure. Nous y compris.

C’est comme avoir déjà vécu une 1ère journée qui nous a déjà bien grignoté notre quota d’énergie, de résistance et de volonté.

Derrière s’enquille le stress du travail. Surviennent parfois des évènements qui nous mettent en colère. A chaque étape, on serre un peu plus les dents, on soupire, on ronchonne, on se plaint à l’heure de la pause-café. On continue; on est forte. On gère.

Quand se termine la journée de travail, la 3ème journée commence pour le tunnel à partir de la récupération des enfants jusqu’au coucher. En passant par les devoirs, la préparation du dîner, le bain, …

Quand enfin ils sont couchés, je suis tellement crevée que

– je m’endors devant la tv,

– je reste collée dessus à essayer de décompresser et d’avoir du temps pour moi et je me couche trop tard,

– ou encore je mange plein de gâteaux,

– pire, je m’engueule avec mon mari qui pense que je suis fière d’avoir la palme de la fatigue,

– ou tout bêtement je suis de mauvais poil

– ah ou aussi j’ai envie d’un bon verre

– …

Dans tous les cas, je me sens trop crevée.

Bref, je ne me réveille pas en meilleur état le lendemain matin. Au contraire.

Vivement le week-end.

Ça, c’était ma vie. Mais ça, c’était avant.

Maintenant, mes journées de travail sont au moins aussi bonnes que mes week-end.

Pour les mamans qui vivent cette vie-là, à toujours attendre un meilleur moment, à avoir la sensation de survivre plutôt que de vivre, à passer plus de temps en mode automatique et ne pas réussir à profiter des instants

et qui ont peur de se réveiller quand les enfants sont déjà grands sans avoir pu savourer tous les âges :

Rejoignez le cocon à la rentrée pour qu’on fasse le ménage dans tous les domaines de vie afin de prendre conscience des modifications à faire pour être sereine. Plénitude. Sérénité. Sagesse. Bonheur.

Avant, je vomissais tous les matins.

Je pouvais avoir des perturbations digestives. J’avais des fringales inexpliquées du style « il faut que je me remplisse, vite ».

A un moment, j’étais une boule d’émotions, de maladresses, d’oublis. Je n’arrivais plus à me concentrer. J’étais fatiguée dès mon réveil. Mes priorités ne s’activaient plus.

En gros, j’avais tous les inconvénients d’une femme enceinte alors même que je ne fabriquais pas de vie…

Je couvais le stress, l’anxiété. Je suivais mes injonctions intérieures : faire plaisir, être parfaite, faire mieux, c’est normal d’en ch… des ronds de chapeau, …

Si en toi, la vie ne se crée pas mais veut reprendre ses droits, je suis là pour toi. Pense à toi. Penses-y.

Pu…! Y’a vraiment des jours où c’est pas mon jour. Je ne la sens pas cette journée !!

Comme si je m’étais levée du pied gauche. Comme si j’attirais les poisses, une en amenant une autre. Je crois que ça m’a mise de mauvais poil.

J’envoie ch… mari, enfants, collègues, et tout le toutim. Je ronchonne toute seule. Je ne rencontre que des gros c…! Tout ça à cause de …!!! C’est pas juste… (© Gaumont Animation / Pagot)

Ras le … de ce.tte collègue ! Tu rêves qu’il/elle arrête de te pourrir la vie ?

J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle :

La bonne nouvelle, c’est que c’est possible.

La mauvaise, c’est que cela ne viendra pas de lui/elle.

Eh oui, à toi de gérer…

1. Prendre en main ton état d’esprit

2. Prendre en main ton comportement

3. Prendre en main ta communication

Oui, je suis ch… parce que je te pousse à agir au lieu d’attendre que cela change tout seul !

C’est chiant, hein ! Ces gens bien pensant,

qui croient tout savoir, qui nous conseillent de nous calmer, de prendre des congés ou de prendre soin de nous !

Ils n’ont rien compris. Et ils sont qui pour nous dire ça ?? M…, on est libre, on fait ce qu’on veut ! On s’en sort très bien, non ?? On est des battantes ! Ils nous ont pris pour qui ?!

Du coup, moi, j’ai envie de te dire : ne viens surtout pas dans le Cocon. Tu risquerais de ne plus avoir besoin d’être une battante. De te sentir plus zen. D’être fière de savoir comment progresser. Ce serait dommage !

Au cas où tu es une rebelle, ou une curieuse : clique ici !

Tu ne te sens pas vraiment bien…

Vraiment, tu ne veux pas continuer la boucle infernale des échecs; tu as envie de tout arrêter plutôt que de te voir toujours au même point; tu ne veux pas perdre totalement confiance en toi !

Tu veux enfin progresser, avancer dans ta vie ! Etre épanouie sur tous les plans, dépasser tes blocages, qu’il ne te manque plus rien pour être heureuse.

DANS LE COCON, tu vas t’accepter, relativiser, oser, être maître de ta vie, être fière de toi

Entends le pouvoir de l’accompagnement :

  • tu n’es plus seule : tu es entendue, comprise et soutenue
  • on t’aide à remettre en question des pensées (que tu n’aurais même pas pensé à remettre en question !)
  • on te donne des outils des conseils des connaissances adaptés à toi
  • tu peux vraiment te transformer (on est d’accord que seule ça n’a pas trop évolué, hein ?)

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