Tranches de vie de femmes

Les femmes ont parfois des vies compliquées, un peu trop chargées.

J’arrive crevée au boulot !

C’est la course le matin ! Se préparer tout en préparant les enfants… En voulant faire vite, tu presses les enfants comme des citrons et tu te vides de ton énergie.

Et si tu respirais et te déstressais sur le timing et sur la façon qu’ont les enfants de se préparer ? C’est simple, mais ce n’est pas facile à faire. je t’aide à changer ta façon de penser pour transformer ta vie.

WTF Raaa !

Le petit pleure (ou plutôt il s’égosille…), le grand répète en boucle “maman maman maman maman maman”. Il y a du lait par terre à nettoyer, le chien a envie de pisser et là… ça sonne à la porte !

MEEP MEEP SURCHARGE MEEP MEEP “jenpeupu” je suis débraillée et je risque de me déverser sur la personne derrière la porte mais tant piiiiiiiis, j’ouvre !

En modifiant ta façon de penser, tu peux gérer bien mieux tout un tas de situation. Tu peux même en rire plutôt que d’en pleurer !

Je suis nulle ! Je suis une grosse 💩

Penses-tu, que dans une situation équivalente, tu dirais ceci à une amie…? Penses-tu que cela t’aide de te parler ainsi ? D’avoir des pensées si négatives, encore plus à ton sujet ?

Alors que tu as les mêmes problèmes que ton amie, tu la traite autrement face à ces mêmes problèmes ! Tu :

  • l’écoutes chaleureusement.
  • es plus compréhensive .
  • la conseilles
  • lui parles de façon respectueuse, délicate et amicale.

J’imagine ce que tu as envie de me dire… « Ben oui, évidemment ! C’est logique, non ? On l’aime notre copine, on a envie qu’elle se sente mieux et on est respectueuse, c’est normal ! On lui apporte de la compassion, de la compréhension. C’est simplement du savoir-vivre, de la politesse, de l’amitié. On ne va quand même pas l’enfoncer en l’insultant ?! »

Ah donc… tu la traites comme tu aimerais être traitée c’est ça ? Intéressant.

Donc, toi-même, tu ne te traites pas comme tu aimerais être traitée. Intéressant.

Tu penses ne rien pouvoir y faire n’est-ce pas ? Et pourtant, c’est possible d’être sa propre BFF 😉 ça fait un bien fou.

Et si tu venais tester mon cocon ultra pour travailler sur ton fonctionnement intérieur ? Tes pensées, tes émotions, tes états d’esprits, …

En modifiant tout cela, ça transformera toute ta vie autour. Positivité, sérénité, joie. On profite de tout ce qu’il y a autour de nous, on saisit les opportunités, on vit suivant nos valeurs, nos besoins, nos envies.

Ça n’a pas de prix.

Avec le modèle de pensées de Brooke Castillo, tu peux progressivement transformer tes pensées, les passer de négatives à positives !

Ca te dit ? C’est un des nombreux outils que nous allons étudier et utiliser dans le cocon. Il est applicable dans tous les domaines de vie.

Mais qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ?!

Penses-tu que :

  • tu n’as pas de chance
  • les évènements s’acharnent contre toi
  • ils se sont tous ligués pour te faire chier
  • tu ne peux rien y faire ?

Cela signifie que ton cerveau a l’habitude de voir le côté négatif des choses, donc de subir et de te placer en mode Caliméro “la vie est vraiment trop injuste”… Il est tout à fait possible de changer ce mode de fonctionnement ! Cela demande un peu de remise en question, DE PATIENCE, de bon sens, d’indulgence, …

Ca te dit de passer de l’autre côté de la force ? Celle où le verre est à moitié plein, celle de la positivité et celle où l’on profite mieux de la vie avec joie et sérénité au programme ?

OUILLE, j’ai mal au dos !

LA dernière fois, j’ai mis un temps fou à comprendre. C’était mon corps qui me parlait et me prévenait !

As-tu ce genre de problèmes ? Insomnies ? Migraines ? Maux de ventre ? D’autres douleurs ?

C’est peut-être le moment de se poser la question, tu ne crois pas ? Penses-tu possible d’être en pré burn-out…?

Si tu veux prendre le temps de souffler et prendre le contre-pied du burn-out, tu peux venir dans le cocon. on va gérer émotions, pensées, relations, positivité.

Le poids des conditions de travail sur notre état mental

Il y a peu, j’ai eu un échange avec Céline, une enseignante dont les conditions de travail difficiles l’avaient profondément affectée émotionnellement.

Au point où son bien-être général était sérieusement compromis ; elle était presque traumatisée par divers évènements. Elle se retrouvait dans une situation où elle n’avait plus la force et la patience de s’occuper de sa famille, où elle se sentait prisonnière de sa situation.

L’histoire de Céline souligne l’impact puissant que les conditions de travail peuvent avoir sur notre bien-être émotionnel. Elle nous rappelle que prendre soin de soi est une priorité, ainsi que savoir se protéger, se respecter, poser ses limites.

Dans le Cocon, je travaille avec des femmes qui ne parviennent plus à gérer leur vie familiale comme elles le souhaitent, qui se sentent épuisées, vidées, impuissantes, au bord du burn out.

Ensemble, nous pouvons travailler l’état d’esprit, les pensées, les émotions, …

Nous pouvons voir comment prendre soin de soi fait découler les bonnes conditions dans tous les domaines de vie.

La Motivologue t’aide à reprendre tes pouvoirs sur ta vie pour te sentir plus sereine et plus libre.

C’est toi qui gères !

ES-tu Enceinte ? Non ? alors qu’est-ce qui t’arrive…?

Pourtant, tu as Peut-être Des nausées des maux de ventre Et les seins, ils sont plus gros ?!

Tu te sens fatiguée, voire épuisée. A fleur de peau, comme des hormones qui pogottent ! Des larmes et agacement incontrôlables ?

Mmm étrange, non ? Tu as une théorie à ton état ? Tu serais OK d’envisager que ça ne va peut-être pas si bien que ça ?

Sandra a 37 ans. Plusieurs femmes vivent ce qu’elle vit.

Elle est mère de 3 enfants. Et maîtresse de 28 autres. Elle n’a pas eu le temps de passer chez le coiffeur pour refaire sa couleur. Elle n’a pas encore commencé le traitement qu’elle est sensée suivre depuis 5 semaines. Il faudrait déjà qu’elle retrouve l’ordonnance… Ah oui, il faut aussi rappeler sa tante !

Quand elle met ses enfants au centre pour préparer ses cours, elle culpabilise de les laisser et de ne pas passer davantage de temps avec eux. Lorsqu’elle travaille à la maison, elle culpabilise d’envoyer balader ses enfants ou de perdre du temps quand elle répond à leurs attentes.

Quand elle est pleinement avec ses enfants, elle culpabilise de ne pas travailler pour ses élèves.

Finalement, quoi qu’elle fasse, elle a la sensation de ne pas faire le bon choix et de ne pas le faire correctement. Une mère pas assez présente, pas assez patiente, un temps de partage de mauvaise qualité. Une enseignante qui ne peut pas gérer tous les projets ou toutes les matières au même niveau. Il lui faudrait beaucoup trop d’heures de travail.

Elle se sent stressée. Pressée. Manque de temps. Manque de force pour tout gérer. Elle sent sa confiance diminuer. Elle pense qu’elle a besoin de repos. Juste ça. Rien de plus. Mais est-ce qu’elle arriverait à en profiter ? Ferait-elle taire toutes ses petites voix qui tournent dans sa tête ? Reviendrait-elle reposée ?

Nadia a 39 ans.

Elle a deux enfants. Elle travaille beaucoup et fait tout ce qu’elle peut pour aménager ses horaires en fonction de ses enfants et diminuer le temps de nounou. Pour elle, le sommeil est important et elle n’aime pas réveiller ses enfants le matin pour aller à l’école (quand elle est là le matin !): mais sinon, elle ne les voit pas assez… Elle passe aussi du temps à les regarder dormir.

Elle s’agace contre son mari qui se pose tranquillement en rentrant du travail. Ok, il bosse légèrement plus qu’elle. Mais ce n’est pas pour cette raison qu’il ne doit rien faire du tout ! Elle aussi aimerait se poser les pieds sous la table sans avoir réfléchi, fait les courses et les menus, être tranquille sur le canapé avec un bon bouquin.

La dispute démarre, l’incompréhension, la fatigue et la colère dominent.

Il est fatigué par ses responsabilité, a besoin de se changer les idées et n’aime pas qu’on lui reproche sans arrêt quelque chose, surtout sur ce ton. Elle aussi est fatiguée et a un travail, pourquoi devrait-elle faire tout le reste ? La plus petite se relève, attirée par les cris. Elle est triste que ses parents se disputent. Le cœur lourd, Nadia repart rassurer et s’occuper de sa fille.

Plusieurs pensées parasites lui reviennent souvent, comme « Je cours tout le temps », « J’en ai marre », « Je manque de temps »… « Je n’ai pas l’énergie de cuisiner aujourd’hui » « Il fait ch… », « Je suis trop nulle », « Quelle mère indigne » … « Je devrais me détendre, non, il ne faut pas, je ne peux pas me le permettre, je n’ai pas fini ce que je devais faire »

Valérie a 48 ans. Plusieurs femmes vivent ce qu’elle vit.

Ses enfants ont déjà bien grandi. Ca passe vite. Elle se sent usée, elle aimerait changer de métier. « Je suis trop vieille/incapable, je ne sais pas faire, il faut que je sois responsable, mon mari va m’en vouloir, mes enfants vont être déçus, tout va s’effondrer, c’est bon, je suis forte, je peux tenir! »

Encore et toujours ces pensées …

Pourquoi ces minis tranches de vie de femmes…?

Juste pour parler du pouvoir de l’égo, du pouvoir de cette petite voix qui exprime nos peurs et nos croyances et nous flagellent, nous empêchent de vivre sereinement.

Avez-vous réussi à trouver des conseils à leur donner ? Savez-vous comment changer tout ceci ? Et comment faites-vous pour vous-mêmes ?

En fait, on a tous besoin d’aide extérieure. Seul c’est mission impossible. L’être humain est un être social, dans l’entraide…

De mon côté, ce sont ces femmes que j’ai envie d’aider. elles méritent d’être pleinement heureuse et de profiter de chaque instant de vie avec leurs enfants, leurs proches.

Mes tranches de vie :

Au fil du temps…

Enfant, je me sentais transparente, pas importante, pas aimée de mes pairs. Peu à peu, la naïveté, la joie, l’insouciance s’envolent.

Ado, j’aurais aimé redevenir transparente pour ne pas me faire harceler. Toujours pas d’amour ou de soutien de mes pairs. Des insanités prononcées à chacun de mes passages, même dans la rue, même par des collégiens plus petits que moi. Solitude. Souffrance.

Jeune fille, j’étais en recherche d’amitié mais me sentais comme la cinquième roue du carrosse, arrivée trop tard, au milieu de « vieilles » amitiés bien installées. Seule, mais parmi les autres. A essayer de devenir plus importante. Se faire aimer.

Jeune adulte, je suis partie à la chasse à l’amour. J’ai fait souffrir en cours de route, dans ma quête assoiffée d’absolu. Tellement à « rattraper », à « compenser ». Incapable de faire le tri dans mes sentiments. Se raccrocher à n’importe quel signe d’affection que l’on me montrerait.

Tout ça pour dire : on change, on évolue. Rien n’est figé. Que l’on vienne de loin ou non. Il suffit d’en avoir envie. Un peu d’aide et de soutien sont les bienvenus.

J’ai fait ce chemin. Je le continue inlassablement. Trop de belles choses sur ce chemin pour s’arrêter… Aujourd’hui, je vous partage mes étapes de jeunesse pour vous montrer que l’on peut sortir de ses schémas et de ses blessures.

Grâce à mon expérience et tout ce que j’ai appris, (et mon enthousiasme eheh) j’aide les femmes qui s’oublient à se rappeler qu’elles sont fortes et qu’elles ont leur vie et leur bonheur entre les mains. Pourquoi pas toi ?

Dans ma vie d’avant,

j’étais capable de me prendre la tête sur ce que peuvent bien penser les autres et comment agir pour ne surtout pas leur déplaire.

Je faisais le caméléon, le grand écart, le tampon, … pour que tout le monde soit content et qu’il n’y ait surtout pas de conflit. Et encore moins si c’est moi la cause !! Horreur…

J’usais beaucoup de mon énergie avec mon mental. En permanence. Pour éviter le jugement, éviter de déplaire. Miss parfaite. Les autres contents, moi, au placard !

Par exemple, j’étais capable de passer un temps et une énergie dingues dans la formulation et reformulation de belles phrases, que je dirais à tel inconnu, si jamais il me faisait une remarque, pour me « justifier » d’un comportement que j’aurais eu.

Ça tournait dans ma tête, non-stop, jusqu’à ce l’inconnu soit assez derrière moi ou jusqu’à ce qu’une nouvelle « bêtise » prenne toute la place dans mon cerveau.

Je comprends à présent, avec le recul, pourquoi si jeune, j’étais si souvent fatiguée. J’en venais à croire que j’étais née fatiguée ! Mais le mental qui se prend la tête sans cesse, c’est tout bonnement épuisant.

Ressens-tu une fatigue inexpliquée ? As-tu un hamster qui tourne la roue de tes méninges sans cesse au cours de ta journée ? Penses-tu faire quelque chose pour changer ça …?

Remarque bien que je viens de loin, niveau torture psychologique que je m’imposais … Alors, si moi je peux, toi tu peux !! Parles-en avec moi si tu veux ?

Dans ma vie d’avant,

je vivais sous le stress permanent, les injonctions extérieures que je m’infligeais et celles que je me rajoutais, … être parfaite, efficace, et rapide qui plus est.

J’avais l’impression d’être sans cesse pressée, en surrégime, à peine à la moitié de ce qui me restait à accomplir. Je pensais trop vite, je me stressais toute seule. Au travail, je n’avais pas le temps de discuter, il fallait corriger. J’étais incapable de m’intéresser, je réfléchissais. Je ne prenais pas le temps de créer des liens sincères avec mes collègues; je pressais les élèves comme des citrons. Je ne sentais plus le plaisir et la créativité, je faisais ce que je devais. Jamais je ne m’autorisais pas à sortir en semaine : il fallait que je dorme pour être en forme et ne pas me faire dévorée toute crue par mes élèves.

La fatigue soulève des émotions et le stress devient impossible à gérer face à mes petites éponges qui l’ont senti et qui ont par conséquent décidé de me faire chier et de me faire passer une sale journée et ainsi me le faire regretter.

Un train-train de métro-boulot-dodo, rythmé par au moins 8 sonneries à heures fixes, 12 voyages cour-classe par jour minimum, pas de vraie pause, du bruit incessant, des photocopies, des réunions, des préparations, des corrections, de course effrénée. Une semaine de moine dans les soirées. Pas de vie sociale en dehors de certains moments dans le week-end. Je m’étais bien enfermée dans ma petite prison. Accompagnée d’une belle accélération mentale de pression…

Pas toi ? T’es-tu enfermée dans ta propre prison ? Vis-tu sous le stress permanent ? Penses-tu faire quelque chose pour changer ça ?

Dans ma vie d’avant,

chaque instant était propice à la création d’un nouveau scénario catastrophe.

Et si un cambrioleur était là, et si le gars derrière moi me voulait du mal, et si j’avais un accident de voiture, … et si la chauve-souris arrivait à sonner à l’interphone ? 😂 ( Ce sketch de Jean-Marie Bigard m’avait marquée, plus jeune !)

Bref, des scénaris en mode « que peut-il se passer de pire » qui me faisaient passer en réflexion sur justement les « réflexes » de survie qu’il serait bon d’avoir. (Comme quoi, on trouve vraiment toujours du positif partout. Il suffit de savoir le regarder et le prendre pour soi, comme une ressource.)

Je sais à présent que le cerveau est en mode survie et prête attention pour nous à tous les dangers possibles. Mais franchement, aller au bout de chacune des histoires, c’est épuisant. On utilise toute la bande passante pour ça et il ne reste plus de quoi vivre pleinement le moment présent et en profiter. Et puis le cerveau ne fait pas la différence entre le réel et l’imaginaire donc belle montée d’angoisse !

Finalement, le corps est souvent sous stress. Juste avec ça. Tu rajoutes le stress quotidien du travail, des relations interpersonnelles et des soucis de base et tu restes perché tout le temps, là-haut, dans le stress et l’angoisse. Le corps ne revient quasiment pas à l’homéostasie, l’équilibre du calme dont il a besoin. On se retrouve alors avec plein de symptômes, que j’avais listés dans un précédent post.

Ça aussi ça vaut le coup de le changer dans sa vie. Tu ne crois pas ? Et si tu le décidais ?

Il serait bon d’aller visiter le Cocon, non ?

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