Les relations avec tes enfants qui grandissent
Un jour, il va partir. La maison sera vide. Ton boulot de maman sera plutôt terminé. Tu te sentiras vide et triste, toi aussi. Peut-être trouveras-tu que le temps est passé bien trop vite et que tu auras été plus souvent :
- énervée qu’admirative,
- en train d’interdire plutôt que d’accompagner,
- en train de subir ton quotidien plutôt que dans la joie de l’instant.
Tu auras peut-être une relation conflictuelle, distendue. Ou alors tu auras peut-être manqué des moments. Tu seras peut-être emplie de regrets. De culpabilité.
Tout a une fin, y compris les moments galères que tu vis au quotidien. Pressée que ça se termine et à vivre pleine de regrets ? Ou envie d’agir pour mieux vivre ces moments et profiter à fond de ses enfants ? Quelle team es-tu ?
En ce qui me concerne :
J’étais enseignante, j’ai fait un burn-out, j’ai eu des soucis de colère, de stress, de perfectionnisme, de rapport au temps, des difficultés à ne pas subir les aléas et lourdeurs de la vie quotidienne, à profiter du temps présent, à me sentir bien avec mes enfants.
Quand mon corps a fait des choses bizarres, j’ai été chez le psy au cas où ce serait psychosomatique.
Les relations aux soins :
C’est vrai que quand quelque chose ne va pas dans ta vie, en France, on te dit d’aller voir un psy.
C’est très bien, oui, tout le monde en aurait bien besoin. Le fonctionnement du cerveau est un sacré mystère qui nécessite souvent une aide.
Cependant,
- parfois ce n’est pas la réponse à CE problème.
- souvent, ça ne suffit pas.
- c’est plutôt long.
- il existe plein d’autres solutions que l’on ne connaît pas bien et il est difficile de savoir ce qui nous conviendrait parmi ces diverses propositions.
Parfois, le médical est indispensable et c’est alors un psychiatre qui gère cet aspect, avec ou sans thérapie d’un psychologue. Ce n’est pas incompatible de mettre en place d’autres choses qui font du bien autour, la santé, c’est sacré.
Si tu n’es pas victime d’un traumatisme ou d’une dépression, que tu n’as pas de souci de santé mentale mais souhaites juste apprendre à gérer ton stress quotidien et ne pas arriver jusqu’au burn-out, sincèrement, dis-moi,
- tu préfères payer 80 euros par semaine pendant 1 an (=4160 euros) pour parler 1h par semaine
- ou tu préfères payer 80 euros par semaine pendant 4 mois (=1280 euros) pour avoir un programme d’accompagnement où tu apprends et évolues ?
L’essentiel est de savoir ce qui te convient à TOI.
As-tu besoin d’un.e médecin ? D’un.e thérapeuthe ? Ou bien d’un.e kinesiologue ? Ou encore d’un.e sophrologue ? D’un.e hypnothérapeute ?
Ou d’une accompagnatrice présente au quotidien dans ta poche, une conseillère qui peut t’aider avec tes pensées, tes émotions, ton stress, ta communication, tes relations familiales, la compréhension de tes enfants ?
De quoi as-tu besoin ? Relativement, est-ce si cher ? Est-ce qu’une vie harmonieuse avec sa famille a réellement un prix ?
Tu veux quoi pour toi, pour ta vie ?
Je sais que c’est difficile de décider, d’agir, de maintenir. Ca demande plus d’énergie que de rester en mode automatique, c’est évident.
Mais quel COÛT de ne rien faire, de rester dans cette situation qui ne te convient pas ?
Et si justement ça valait le COUP d’agir pour changer les choses ?
Ce qui est certain c’est que si tu ne fais rien de différent, rien ne changera dans ta vie.
As-tu agis différemment, pour le moment ? Ou bien fais-tu comme d’habitude ? As-tu envie que les choses changent ? Vraiment ? Penses-tu qu’en agissant pareil, ta vie changera toute seule ? Te sens-tu prête ?
Tu as un choix à faire. Quel est le tien ?
Et si tu t’inscrivais à la Lettre Motivologuée mensuelle ?
Tu serais au courant de tout en avance.
