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Il nous fait quoi notre cerveau… ?!

Bah, notre cerveau, il veut simplement nous protéger. C’est sympa tu me diras ! 😊 Seulement lui, il est resté dans le monde de la préhistoire. Pas nous. C’est assez problématique.

On pourrait le prendre pour un flemmard mais il ne simplifie les choses que pour être certain de mieux fonctionner dans son but principal : notre survie.

Il a déjà tellement à gérer pour nous MAINTENIR en vie avec le fonctionnement de la machine, tu imagines ? Il ne va pas gâcher cet effort en laissant l’extérieur nous agresser, nous tuer. Non mais oh !

Mais… plus de tigre à dents de sabre. Donc, on n’en a un peu moins besoin. Quand même.

Il fait quoi en fait ? Il analyse, met dans des cases, utilise les chemins neuronaux les plus fréquents et donc les plus rapides ainsi balance la réponse comportementale qui vient le plus souvent dans ce cas-là.

Donc… si par exemple tu t’es énervé plusieurs fois dans un type de situation, ça a de bonnes chances de se reproduire.

Il se passe quoi en vrai ?

Comme il veut que tu survives, il analyse tout autour de toi comme de possibles dangers. Donc, il est bien plus entraîné à voir le négatif que le positif. Plusieurs biais cognitifs que nous possédons viennent enfoncer le clou là-dessus.

T’es-tu déjà fait des scénarios catastrophes ? Ou « comment faire de l’anticipation négative, utiliser de l’énergie et produire du stress ».

Donc on vit dans un monde finalement assez négatif à cause de la lecture de l’environnement par notre cerveau protecteur. Cela génère des pensées, puis des émotions, puis des comportements, puis des conséquences négatives.

On passe tous par des phases où on oublie ses valeurs et des projets. A force de se dire « oui, mais bon, ça va », ça va de moins en moins bien, car on ne fait rien pour que cela change. On ne sait plus ce qu’on veut mais on sait ce qu’on ne veut pas. Alors, on passe son temps à râler et à dire autour de nous, à chacun, ce qui ne va pas. On ne demande pas ce qu’on veut, parfois on ne le sait même pas. On en vient à tout dévaloriser. Puis critiquer. Finalement, tout nous emmerde, il y a beaucoup de cons, non ?

C’est à ce moment, quand on s’approche du fond, qu’il faut réagir.

Sinon ? Burn out. Maladie. Grosse déprime voire plus. Plus d’énergie. Plus de positivité. On reste coincé là. Rien ne change si on ne change rien.

Alors, finalement, c’est pas si mal de forcer un peu le trait de la positivité pour qu’elle reste là le plus souvent possible, non ?

Si c’est important pour nous, si on met en place, déjà, l’effet papillon positif, on entre dans une énergie et une visions enthousiaste et positive. Si on le répète, cela peut devenir une habitude.

A ce moment-là, on ne se fout plus de tout, dans le sens où on se laisse aller, mais on apprend plutôt à se foutre du jugement des autres. A partir du moment où ça nous fait du bien et que ça fait sourire la plupart des personnes avec qui ont interagit, c’est gagné!

Aaaahh…

Merci, toi, ô mon cerveau, de me maintenir en vie.

Et Merci, toi, ô mon cerveau, de surveiller tous les dangers pour moi.

Oh Merci, toi, ô mon cerveau, de me donner tout ce dont j’ai besoin lorsque le stress se manifeste.

Que puis-je faire pour toi en retour ?

Eh bien oui, … Le laisse souffler ce pauvre cerveau. Déjà qu’il reçoit trop d’informations et qu’il doit faire le tri, déjà qu’il a une tâche de fond complexe, déjà qu’il essaie de vous aider à gérer votre stress …

REPOS ! FAIRE CE QU’ON AIME ! FAIRE CE QUI NOUS FAIT DU BIEN ! RECHARGER SES BATTERIES ! Comment t’y prends-tu, toi, pour recharger tes batteries ? Trouves-tu le temps de le faire ? Sais-tu au moins encore ce que tu apprécies ? Raconte-moi, ça m’intéresse vraiment. Merci à toi

Attention à la confusion :

j’ai parlé de prendre les rênes de son cerveau, de faire « autrement » quand nécessaire.

Ne confondons pas l’INTUITION (elle on l’écoute !) et les AUTOMATISMES du cerveau qui cherche le plaisir rapide ou l’efficacité, la simplicité en réutilisant les chemins déjà pris.

Un exemple ?

– Tiens, c’est une bonne idée, si je faisais ça ? = INTUITION

– Je me retrouve avec un carré de chocolat en main… = AUTOMATISME

– Et si je faisais ci au lieu de ça ? = INTUITION

– Pif, paf, ça ça va là, ça ça sert à ça et… ben ça marche pas, j’comprends pas ! = AUTOMATISME

Ok ?

Ce n’est pas que notre cerveau est flemmard, c’est qu’il est écolo.

Ou économe. Il a du boulot (notre survie) et peu de latitudes donc il économise l’énergie au maximum.

Donc le plus souvent possible, le cortex pré-frontal, siège de la réflexion, est au repos, pendant que des décisions sont prises tout au long de la journée en mode automatique.

La question est : passes-tu des journées qui te conviennent ? Tes habitudes ancrées qui se reproduisent chaque jour te conviennent-elles ? Comptes-tu changer quelque chose ?

Mode automatique… mais mais ?!? Pourquoi j’ai du chocolat dans la main ??

Mais mais … qu’est-ce que je fous, là ?? C’est pas croyable. Je télétravaille, tranquilou. Y’a de la neige dehors. Je suis en pleine réflexion et là pouf ! Chocolat.

C’est pénible Noël. Mon estomac s’est habitué à beaucoup manger, à manger du « bon, bien gras bien goûtu » mais pas bon pour la santé et en plus, à avoir une dose de chocolat. C’était les fêtes. Les proches étaient présents. C’était les vacances, sans montre, sans être pressé.

On a repris depuis quelques jours. Ton cerveau veut sa dose de bien et tout de suite ! L’environnement est vide, la fête est finie, la bouffe est naaaaaaase… clairement, il fait la gueule. Solution ?

Octroie-toi des pauses ressourçantes afin que le cerveau ne cherche pas en permanence à te guider vers du plaisir immédiat de ce type. Fais des choses qui te plaisent. Sois heureuse. Choisis des jolies histoires à te raconter.

Tu auras moins besoin de chocolat comme carburant

Accessoirement, apprendre à gérer ses émotions peut nous aider. Nous aider à nous sentir mieux, plus sereines, à mieux les accepter, à moins avoir besoin de compenser avec du plaisir immédiat aussi fort que celui du chocolat !

Qu’est-ce qu’il peut nous raconter comme conneries, notre cerveau !

Sous couvert de nous protéger, notre cerveau nous raconte tout un tas de trucs faux que nous croyons vrais : des doutes, des peurs, des croyances limitantes.

J’suis nul.le. J’y arriverai jamais. Je ne saurai pas faire, jJe suis trop …, je suis pas assez …

Si on les écoute, on ne fait rien, aucune action, et par conséquent, on n’a pas confiance en nous…!

Reprenez le post d’hier par exemple. La femme victime de son mari. A force d’entendre, de voir et de vivre les mêmes manipulations, c’est devenu en partie sa normalité. Elle s’est adaptée, trouve les choses plus ou moins normales et estime que c’est de sa faute, au moins en partie. Elle pense une chose et son contraire, elle est perdue et elle sait qu’elle ne sait plus quoi penser ! En fait, elle ne peut pas faire confiance à son cerveau à cause de toutes les influences qu’elle subit.

Son cerveau croit ce qu’il perçoit. Et clairement, ça ne la protège pas. On ne peut donc pas toujours faire confiance à ce que l’on pense… et surtout, on peut changer ce que l’on pense !

Est-ce que cela vous arrive de changer de moral, d’état d’esprit dans une journée ? Vous voyez alors à quel point votre avis change sur une même question ?

Ce que l’on pense d’un évènement dépend de son état d’esprit !

Voilà pourquoi je travaille sur ce fameux état d’esprit afin de vivre du côté positif de la force… Deviens le jedi de ton cerveau, l’optimiste du coin ! Reprends ta vie en main pour vivre heureux…

Maman en ras-le-bol, je t’apprends à relativiser, à changer tes pensées pour changer ton quotidien, à prendre soin de toi et de tes relations pour que tu sois épanouie dans une vie équilibrée et sereine.

Ca te dit de muscler Ton cerveau avec « Alter » ?

C’est lui !

Tu te demandes probablement : muscler ? cad ? pour quoi faire ? ça donne quoi ?

C’est : prendre sa vie en main, quitter le pilote automatique, et tout faire pour être le plus heureux possible !

• Décider de changer les choses et agir
• S’entraîner à prendre, reprendre et garder la bonne posture

• Gérer ses émotions

• S’habituer à transformer ses pensées

• Contrôler sa communication

• Ecouter son intuition et éviter les réflexes

Ca te motive ? Je suis là pour t’expliquer, t’apprendre, te montrer, te pousser, Tu n’es plus seule ! TU AS ALTER ET LA MOTIVOLOGUE AVEC TOI

Si tu veux changer des trucs dans ta vie qui ne te conviennent pas, tu dois savoir 3 choses :

1. Ton cerveau t’empêche d’y arriver.

2. Pour y arriver, tu vas devoir biaiser ton cerveau en lui créant de nouvelles habitudes.

3. Ces nouvelles habitudes vont vous demander des efforts à tous les 2, mais ensuite, ce sera top pour tous les 2 !!

En effet : tu savais que le cerveau est en mode survie, dans la fuite de la douleur, la recherche du plaisir immédiat, et il n’aime que ce qu’il connaît ?

En gros, un bon vieux c.. qui ne déroge pas à ses habitudes et qui ne change pas une équipe qui gagne. Ben oui, pourquoi faire ? On sait ce qu’on perd mais… Et puis on a bien mérité un ptit (verre, chocolat, netflix, jeu, …) !!

Il s’en fout si ce n’est pas bon pour ta santé à moyen ou long terme. Il s’en fout si on n’est pas heureux. Lui il veut qu’on survive et pas trop se fatiguer. Mais, en réalité, … c’est juste parce qu’il a déjà beaucoup à gérer juste pour te garder en vie.

Si tu veux quelque chose de différent dans ta vie, fais-en une habitude. Avec un peu de temps et de travail (puisque ça va lui demander des efforts énergétiques), cela deviendra un réflexe inconscient qui répondra à tous les critères dont ton cerveau a besoin Ne rate pas l’occasion de venir t’entraîner !