Egoïste ou pas égoïste les avis divergent.
A ton avis, faut-il être égoïste pour être heureuse ??!
Et penses-tu que, dans mes divers propos, je te demande de mettre tes enfants et ton conjoint de côté ?
NON ! Il ne s’agit pas d’être égoïste. Il s’agit de t’ECOUTER afin de respecter ton corps, tes besoins et éviter de te sentir mal.
Ou alors le fameux égoïsme salutaire qu’évoque théo duverger afin de se sauver du burn out. Mais avoue, ce serait plutôt dommage d’en arriver là, non ?!?
Tu n’es pas égoïste, tu cherches à te respecter et à respecter tes besoins. Je te propose en fait d’être en parfait état toi-même afin de pouvoir te tourner sereinement vers les autres. Etre pleinement ressourcée, reposée, ouverte, bienveillante, sereine, en joie. ET ON APPREND à mettre son égo de côté justement…
Afin d’être pleinement intéressée, attentive, généreusement tournée vers l’autre. Et honnêtement, les bénéfices sont incroyables pour tous. On se sent écouté, aimé, reconnu. Grâce à nous. Et cela nous revient. Evidemment.
Parce que l’on s’intéresse sincèrement à l’autre, qu’on le respecte, l’écoute, le comprend, l’accepte tel qu’il est. Pour ça, il faut mettre son égo de côté. Toi qui aimes tant te sacrifier, ça ne te dit de continuer à le faire, mais en ne ressentant que les effets positifs car tu te seras d’abord respectée et écoutée toi-même ?
Tu peux être A LA FOIS heureuse, épanouie, et très fière de tout ce que tu crées pour ta famille ! Alors, tu viens avec moi, Alter, apprendre à mettre ton ego en veilleuse ?
Tu cherches tu cherches mais tu ne trouves pas… du temps pour toi !
Les enfants, le taf, la maison, les rdv, les activités, … Entre les enfants à garder, le conjoint pas dispo pour prendre le relai, ta culpabilité, …
Parfois c’est difficile d’aller voir les copines pour se changer les idées !!
Tu as du mal à ne pas culpabiliser parce que tu aimes très fort tes petits choux (même quand ils te sortent en fumée par les oreilles parce qu’ils sont ultras gonflants!!) et que c’est normal d’en prendre soin.
En plus, tu sais que si c’est toi qui t’en occupes, la couche sera changée, le pyjama mis sera le bon, la coiffure sera défaite avant d’aller au lit, les jouets seront retirés du lit, la maison sera rangée, la table débarrassée…
Alors que si ce n’est pas toi, tu sais que ça va t’énerver que ce ne soit pas fait et que ton conjoint sera vexé que tu pointes tous ses « manquements »… et tous les bénéfices de la soirée trop chouette disparaîtront à l’instant même.
Tu te sens concernée ?
Nous avons été élevées dans un principe de don de soi avec au bout la culpabilité de ne pas le faire car cela prouve que l’on est égoïste.
Aujourd’hui, plusieurs générations se confrontent, plusieurs visions également. Les jeunes générations s’écoutent plus et chaque individu est considéré comme égoïste. Il y a une différence entre écouter son corps, ses limites, ses besoins et écouter son mental, sa flemme ou sa peur. Etre égoïste, c’est prendre quelque chose à quelqu’un et non pas juste dire « non ».
« L’égoïste, c’est quelqu’un qui ne pense pas à moi. » ahah L’égoïste pense que tout lui est dû et qu’il est le centre du monde, il demande et prend aux autres.
Tu es maman.
Être maman, c’est important, tu fais passer tes enfants avant tout. Tu débordes d’amour pour eux.
Tu fais le contraire d’être égoïste et probablement que tu penses qu’être égoïste c’est MAL. On a du au-dessus les différentes formes d’égoïsmes, enlève les fausses croyances à ce sujet. Cela te déculpabilisera et t’autorisera à dire « non » quand c’est nécessaire.
Tu travailles, car pour toi, c’est important d’avoir une vie sociale et une utilité en dehors de ta famille. Ce n’est pas ta priorité, bien sûr. Malgré tout, tu as une belle conscience professionnelle et tu te donnes beaucoup… à partir du moment où cela ne dépasse pas sur ta vie de maman.
Ton conjoint est présent, bienveillant, oui. Mais bon… Il a beau « t’aider », tu as beaucoup à faire et c’est toi qui prends un bon bout de la charge mentale. Tu te sens fatiguée et surchargée. C’est sans fin.
Rien qu’avec ça, tu as beaucoup de casquettes à porter. Tu n’es pas schizophrène mais pas loin ! Quand tes casquettes se superposent trop, tout s’emballe, tu es speed, tes émotions débordent. Tu ne te reconnais plus.
Tu culpabilises de ne pas réussir à tout faire parfaitement.
Les autres, les mamans parfaites, là, elles ont l’air d’y arriver… !
Tu t’en veux quand tu t’agaces sur tes enfants et que tu es tiraillée entre « j’en peux plus, j’ai envie d’être peinarde qu’on me foute un peu la paix » et « mes enfants chéris que j’ai voulu, je m’en occupe, je ne vais pas faire n’importe quoi avec eux ».
Souvent, tu as hâte d’être au moment où les enfants sont couchés, au week-end, aux vacances. Pourtant, c’est souvent pire niveau fatigue et émotions les vacances… En plus, tu es déjà pressée dans ta vie de tous les jours, c’est quand même un comble d’être pressée d’en finir !
Parfois, tu culpabilises d’être contente de te débarrasser de tes enfants et de te sentir en vacances en arrivant au boulot. C’est vrai quoi, chacun son tour.
Régulièrement, tu aimerais être déchargée, ça pèse trop. Pourvoir oublier, un peu. Dormir, beaucoup.
Tout le temps, tu rêves (sans te l’accorder, tes enfants d’abord) d’un spa, d’un cocktail sur une plage, d’une soirée folle avec tes copines comme avant… avant d’être maman. Avant, tu étais une fille fun, sympa. Tu es devenue relou, râleuse et crevée ! Pffffffffff Tu as pris du gras, des rides et tu as perdu toute légèreté. Dans tous les sens du terme !
Tu t’inquiètes beaucoup, tu gères, tu organises en chef d’orchestre de famille. C’est stressant.
Tu te demandes où ça va te mener. Quand tu trouves le temps de te poser la question.
« Et si je prenais soin de moi ? (C’est égoïste)
Un jour, mes enfants n’auront plus besoin de moi. Quelle horreur ! Que vais-je devenir ? Faut que j’aille m’occuper d’eux.
Et si je faisais du développement personnel ? Ça pourrait peut-être m’aider à me sentir mieux au quotidien. Mais je manque de temps et il doit y avoir pas mal de conneries là-dedans. Je vois pas comment faire le tri et comment ça va m’aider dans ma vie de tous les jours. »
Tu reçois plein de « conseils » partout. Surtout quand tu n’as rien demandé.
– Du sport ? Tu cours assez.
– Un resto en amoureux ? La bonne date, la baby-sitter à trouver, à payer en plus du resto, du parking, surveiller l’heure, … ça te saoule en fait !
– Une activité ? Tu as loupé les inscriptions. De toutes façons, tu n’as plus envie de rien. Et puis… t’as pas l’temps. Et t’en fais quoi des enfants ? C’est pas à 21h que tu vas te bouger le cul, non plus, oh.
– Une soirée copines ? Entre les emplois du temps de tout le monde et les horaires du conjoint, faudrait prévoir 1 ou 2 mois en avance…
– Une soirée jeux avec des copains ? Ras le cul de jouer, mauvaise humeur, envie de dormir.
« Comment ça je suis souvent de mauvaise humeur ? Tu t’es vu toi aussi ???
Non non, pas envie de pleurer.
Ma vie est chouette, ma maison, mon homme, mes enfants, mon boulot, … ça va quoi, la vie est belle.
Pourquoi je pleure quand même ?
Oui, bah, je suis fatiguée, comme tout le monde ! C’est qu’un mauvais moment à passer. Et puis tu me saoules aussi avec tes questions.
Comment ça je ne profite pas ? Je t’assure que je le sens bien passer !
Non, non, je ne vais pas faire de burn-out, pourquoi tu dis ça ?? »
Tu te demandes peut-être ce que tu peux faire pour :
ne plus subir le poids de ta vie quotidienne
avoir des enfants biens dans leurs baskets
et être souriante, épanouie, fun, la super maman de bonne humeur qu’ils méritent ?
J’ai une super proposition pour toi. C’est le Cocon
Tu aimes tes enfants plus que tout, mais tu es fatiguée.
Tout gérer, courir partout, penser à tous les détails pour chaque membre de la famille, ça t’épuise. Tu ressens de l’injustice et de la pression devant la quantité de tâches journalières et le peu de temps pour les faire.
C’est usant de répéter ces gestes qu’on n’a pas envie de faire quotidiennement.
Tu te sens seule.
Les mamans devant l’école ont l’air tout à fait souriantes, zen, parfaites (grrrr) alors que tu te sens speed, échevelée, agacée. Tu t’isoles, tu évites les discussions, tu ne veux surtout pas montrer que tu galères.
Tu trouves très peu de temps à passer avec tes copines et qu’est-ce que tu râles et te plains quand tu les vois enfin ! Et trop crevée pour faire un peu la fête ou lâcher prise… faut se coucher tôt : les enfants sont un réveil matin qui ne s’éteint jamais !
Tu
- te sens stressée, angoissée, pressée, vidée.
- croûles sous les injonctions sociétales, les regards, les remarques et ta culpabilité.
- as du mal à dormir
- stresses d’oublier des choses
- culpabilises quand ce n’est pas « assez bien ».
- n’en peux plus, tu en as ras le bol… Ta fatigue augmente, ton énergie diminue.
Tu ne passes plus de bons moments, tu as hâte d’en croiser un, tu restes en attente. Est-ce que tu sais au moins ce que tu attends, ce que tu espères ?
Tu ne fais rien pour toi en fait… Tu ne serais pas en mode sacrifice ? A faire passer tout le monde avant toi ? A ne même plus savoir de quoi tu aurais besoin ou ce qui te ferait plaisir ?
Est-ce le modèle de vie que tu veux donner à tes enfants ? Qu’ils se sacrifient et ne prennent pas soin d’eux ? Non, le vrai égoïste non plus, évidemment.
Es-tu la même, te reconnais-tu ? Où sont passés ton entrain systématique, ton énergie, ta bonne humeur, tes envies ?
Est-ce la vie que tu veux mener ? Le modèle que tu veux donner ? Sérieux, râleur, agacé, stressé, rigide, en retard, … ?
Ou plutôt du fun, de la joie, du peps ? Et aussi des sourires, du calme, de l’harmonie ?
Tu continues car tes enfants ont besoin de toi mais si tu tires trop sur la corde et que tu arrives au burn-out, tu ne pourras plus t’occuper d’eux. C’est maintenant que tu leur montres à quel point c’est important de prendre soin de toi.
As-tu envie de tout subir pour ensuite tout regretter quand tes enfants ont fini de grandir et n’ont plus besoin de toi ? Que ta vie passe à la vitesse et l’éclair sans en profiter et de culpabiliser ensuite de ne pas avoir vécu comme tu le voulais ?
Et, surtout, ne souhaites-tu pas être une super maman moins souvent en colère ? Une maman sereine, enjouée, équilibrée, qui transmet les secrets de la vie à ses enfants ?
N’est-ce pas ton but que de mener la chair de ta chair vers son bonheur ? Figure-toi que cela passe par le tien !
Pourquoi ?
1) Maman heureuse = enfants heureux, je pense que tu saisis facilement pourquoi
2) Maman qui a des clefs sur la vie les transmet à ses enfants qui a leur tour seront heureux et pourront continuer à le transmettre
3) Agir positivement sur les futures générations tout en profitant de sa vie, pourquoi quelqu’un refuserait de la faire … ?!
Alors allège la charge mentale, vire le stress, balance les cris.
Deviens heureuse et inspirante, tu le rayonneras tout autour de toi.
La solution, c’est le Cocon.
C’est le moment où tu saisis l’opportunité de changer ta vie de maman, pour être fière de toi et vivre une vie de famille sereine tout en étant une femme accomplie.
En travaillant avec ton cerveau, Alter et moi 😉, tu apprends à lâcher prise, à mettre aux oubliettes le stress et la charge mentale qui te bouffent la vie et t’épuisent.
Finito les cris sur les enfants, les vagues d’émotions et les dents serrées, la course infernale de la vie quotidienne où l’on est pressée que ça s’arrête enfin… Ce serait le kif hein ?!
Tu deviens enfin la chouette maman sereine qui prend le temps de profiter de ses enfants. La femme épanouie qui s’en fout de la perfection de la société et qui trouve la SIENNE. Ca existe pas que dans les films ?! Cool !
Welcome dans la suite de ta vie où tu ne regrettes plus les moments passés car tu vis chaque instant à 200 pourcents. Tu ne te réveilleras pas vieille en te disant : “je l’ai mal vécu, j’ai subi, je n’en ai pas profité… Je donnerais tout pour recommencer.”
